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En Seine-Maritime, cette demeure indépendante fête ses 40 ans

Par

Chloé Bachelet

Publié le

3 novembre 2024 à 10h06

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Il y a 40 ans, les dernières pierres de l’édifice étaient posées et la résidence Saint-Jean autonomie à Bosc-le-Hard, en Seine-Maritime, a ouvert ses portes.

Toute l’équipe actuelle s’est donc organisée pour fêter l’anniversaire du lieu comme il se doit. Les rires qui s’échappaient de l’extérieur du bâtiment en étaient la preuve.

Résidents, bénévoles, personnels de la résidence et du comité d’aide à la personne, prestataires, membres du CCAS, conseillers départementaux et maire se sont retrouvés lundi 21 octobre pour partager ce moment de festivité.

Construction work on the Saint-Jean residence 40 years ago. ©Résidence Saint-Jean

« Le personnel de la résidence a mis beaucoup d’efforts pour organiser cet événement »décrit Philippe Vincent, maire de la commune.

Ce que confirme Charlène Duboc, hôte à la résidence : « Nous avons organisé un spectacle avec une chorégraphie interprétée par Sandrine, une employée de la résidence, et je me suis occupé de la chanson que chantaient les résidents. »

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Un lieu de joie et d’amour

Après leur représentation, les habitants ont partagé un repas offert par la mairie, dans une salle de réception décorée grâce à des subventions exceptionnelles offertes par l’association Saint-Jean.

« Nous voulons que la résidence soit comme une grande maison où il y a une bonne ambiance pour que les résidents se sentent bien »explique Laure Mignon, directrice de l’établissement.

Une envie partagée par Philippe Vincent qui espérait « que cette résidence continue d’être un lieu de joie et d’amour pour ceux qui y vivent et ceux qui y travaillent.

« Vous êtes des témoignages vivants de l’histoire de notre village »

Philippe Vincent, mayor of Bosc-le-Hard
The Saint-Jean residence today. ©Résidence Saint-Jean

Chantal Biville, ancienne directrice de l’établissement, a également pu assister à des moments de rire comme lorsqu’un résident emménageait dans deux appartements différents parce qu’il se trompait d’étage.

“Mais c’est pourquoi nous travaillons ici”dit-elle.

Puis la fête a repris. Et la musique jouée par Franck Vonderscher n’a pas masqué les rires qui s’échappaient de la résidence.

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