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La filière cosmétique, « une filière créatrice d’emplois » en Guyane

Guyana Cosmetic Valley est la première antenne ultramarine de la Cosmetic Valley, pôle de compétitivité et coordinateur national de la filière parfumerie cosmétique. Quoi de plus naturel pour la branche guyanaise que d’assurer une présence au salon Cosmetic 360, dans le pavillon Outre-Mer, pour promouvoir ses cosmétopées – Aquilaria, Palissandre, palmiers, wasaï, etc. – et ses entreprises soutenues par Business .

« Nos actions sont axées sur la structuration de la filière cosmétique auprès des agriculteurs locaux et bien sûr sur la valorisation de la cosmétopée forestière de l’Amazonie française. » explique Alysson Marigard. « Nous avons mis en place des programmes de coaching et d’accélération avec des experts locaux pour permettre aux Start-up de pitcher auprès des acteurs nationaux « . Avec une trentaine de start-up, la Guyana Cosmetic Valley, c’est aussi un écosystème d’acteurs, dont un centre d’ingénierie bio-inspiré en Guyane, l’Université de Guyane, BPIFrance, « pour accompagner nos start-ups avec une culture financière » et des experts locaux, qui « contribuer à mettre en valeur le renseignement local ».

©Outremers360

« Grâce à la préservation de la biodiversité amazonienne, nos matières premières sont concentrées et pures, nos fruits sont des super aliments. Nous pouvons nous positionner à la fois dans le secteur de la cosmétique mais aussi dans le secteur alimentaire, le secteur nutraceutique, la parfumerie, etc. Il existe vraiment plusieurs secteurs dans lesquels la Guyane peut se positionner et se démarquer sur la scène nationale et internationale. », assure Alysson Marigard.

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Preuve de cette abondance : « C’est un secteur qui crée des emplois. L’Université de Guyane travaille à la mise en place d’un Master en Sciences de la Vie pour former localement et aider les jeunes à s’orienter vers ce secteur, et nos entreprises ont reçu des prix, cela montre et valorise le potentiel des entreprises guyanaises et de nos matières premières. » qui trouvent déjà un écho en Suisse, en Belgique, en Afrique et dans d’autres territoires d’outre-mer, outre la France métropolitaine.

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