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six membres du Junge Tat condamnés à Zurich

Des membres du Junge Tat lors d’une manifestation.Image : Jeune Tat

Le ministère public du canton de Zurich a condamné par ordonnance pénale six membres du collectif d’extrême droite, notamment pour violation de la loi sur les explosifs, discrimination raciale et coercition.

Six membres du groupe d’extrême droite Junge Tat («Jeune action») ont été condamnés pénalement par le ministère public du canton de Zurich, notamment pour violation de la loi sur les explosifs, discrimination raciale et coercition. Ils reçoivent des sanctions pécuniaires allant de 100 à 180 jours-amendes et des amendes.

Les enquêtes ont mis en lumière de nombreux délits, a indiqué lundi le ministère public de Zurich. Il s’agit de la discrimination raciale, de la violation de la liberté de croyance et de culte, de la violation de l’ordre public, de la violation de la loi sur les explosifs, de la coercition, des dommages matériels, de l’intrusion ainsi que de l’écoute et de l’enregistrement des conversations d’autrui.

Les enquêtes pénales ont été menées après les actions des membres du Junge Tat contre un événement au cours duquel des drag queens lisaient des livres aux enfants à la Maison de la Danse en octobre 2022 et les actions perturbatrices lors d’un service religieux de la Fierté le 19 juin 2022. , dans les deux cas à Zurich, précise le ministère public.

Les ordonnances pénales ne sont pas encore entrées en vigueur. L’enquête pénale contre deux autres membres du Junge Tat n’est pas encore terminée. La présomption d’innocence s’applique jusqu’à la conclusion définitive de la procédure, souligne le ministère public. (at)

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