Mais que s’est-il passé avec Denis Lévesque et Réjean Tremblay ? Nous venons d’assister à l’entretien le plus gênant de l’année.
Denis Lévesque, autrefois chef incontesté de TVA, était assis face à Réjean Tremblay et sa compagne, Julie Bertrand. (de loin puisque le couple est en Floride).
Le sujet du jour : la vie des snowbirds en Floride. Mais dès les premiers échanges, il était évident que cet entretien n’avait pas de fil conducteur, autre que celui d’une maladresse évidente. Avancez la vidéo à minuit.
Julie Bertrand, l’épouse de Tremblay, visiblement bouleversée à l’idée que Denis puisse la voir comme une retraitée typique de Floride, avait choisi de s’habiller « façon jeune », avec un décolleté prononcé.
Lorsque Denis Lévesque lui demande ce qu’elle fait en Floride, elle répond brusquement : “Moi, je m’entraîne”laissant un silence gênant planer sur la pièce.
Réjean Tremblay, pour sa part, parle du nombre de chaînes de télévision disponibles aux États-Unis.
“L’avantage ici, c’est qu’on a 3000 chaînes à la télé”il a lâché.
Lévesque, habitué à mener des entrevues percutantes et cohérentes, semble désorienté. Il tenta de relancer la conversation, mais chaque question semblait tomber à plat, amplifiant encore davantage l’atmosphère de malaise qui régnait déjà.
Ensuite, le couple dit préférer la Floride au Québec parce que là-bas, ils ne sont pas jugés parce qu’ils ont beaucoup d’argent alors qu’au Québec, les gens sont mal à l’aise de voir la richesse des autres,
« Moi ici, je peux conduire ma belle Audi cabriolet sans être jugé » dit Julie Tremblay.
« Au Québec, si les employés voient le patron arriver dans une Ferrari, ils diront qu’ils ont été F**KED. C’est tellement triste.” ajoute là épouse de Réjean.
Durant toute l’entrevue, Réjean Tremblay et sa femme ont craché sur le Québec, sur le système de santé, sur le complexe des Québécois face aux riches. Tout y passe.
L’épouse de Réjean Tremblay va même jusqu’à qualifier les Québécois de « colons ».
Difficile de dire ce qui a amené Réjean Tremblay à accepter cette entrevue, où il est clairement présenté comme le pire exemple du « snowbird » type.
Son compagnon était visiblement offensé à l’idée qu’elle puisse être perçue comme une simple retraitée en Floride. Mais malgré ses efforts pour paraître jeune et dynamique, l’échange n’a fait que souligner l’absurdité de la situation.
Cela ressemblait à une conversation entre hasbeens, vestiges d’une époque révolue où les grands noms du journalisme pouvaient capter l’attention du public.
Mais cette interview n’avait rien de captivant. Nous regardions en bas, espérant que cela se terminerait bientôt, soulagés que ce ne soit pas en direct.
Comment Réjean Tremblay en est-il arrivé là ? Comment Denis Lévesque en est-il arrivé là ? Quant à cette chère Julie Bertrand, nous ne la connaissions pas.
Mais disons qu’elle est tout le contraire de sympathique. Si tu es pauvre, elle ne veut pas te parler. Si vous aimez le Québec, elle vous méprisera.
Nous sommes sans voix…
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