« Il y a des choses qui m’énervent chez lui. Sur le long terme, la relation entraîneur-joueur, c’est un peu celle entre mari et femme. »

« Il y a des choses qui m’énervent chez lui. Sur le long terme, la relation entraîneur-joueur, c’est un peu celle entre mari et femme. »
« Il y a des choses qui m’énervent chez lui. Sur le long terme, la relation entraîneur-joueur, c’est un peu celle entre mari et femme. »

Co‐entraîneur de Jannik Sinner pendant près de deux ans aux côtés de Darren Cahill, Simone Vagnozzi a récemment évoqué son entente avec le numéro 1 mondial. Et comme toute relation, il y a des hauts et des bas même si les bas sont plutôt rares.

« Sinner n’est pas du genre à se reposer sur ses lauriers. Je considère Jannik comme un travailleur exceptionnel : il ne se plaint pas, il apprend tout comme une éponge. C’est une chance de travailler avec un gars comme ça. Des défauts ? Bien sûr qu’il le fait, qui ne le fait pas ? Sur le long terme, la relation entraîneur-joueur ressemble un peu à celle entre mari et femme. Il y a des choses qui m’énervent chez lui et vice versa. A Shanghai, il y a eu quelques disputes sur le terrain, mais c’est vraiment sporadique car c’est un homme poli et respectueux. »

Publié le mardi 14 janvier 2025 à 16h40

 
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