Cet article a été automatiquement traduit de HIBAPRESS, la version arabe :
Heba Press – A. Mahyawi
La Chambre Criminelle de Première Instance chargée de la diffusion des délits financiers près la Cour d’Appel de Fès, avant-hier, mardi 31 décembre 2024 de l’année dernière, a reporté l’affaire du réseau de vols dans les domaines de l’Etat et privé, dont Ces activités ont été démantelées par les membres de la Division Régionale de la Police Judiciaire de la Sûreté de l’Etat de Fès, sur la base d’informations précises fournies par les services de la Direction Générale de la Surveillance Nationale du Territoire.
La chambre, présidée par le conseiller Mohamed Lihia, a décidé de reporter le dossier à la séance du 7 janvier, afin de plaider auprès du capitaine Abdel Rahim Ababu, absent de la séance de mardi pour cause de maladie. Il est prévu que l’audience de mardi prochain soit la dernière dans cette affaire qui a ébranlé l’opinion publique nationale et locale dans la région de Fès-Meknès, compte tenu des emplois et des missions des accusés.
En octobre 2023, des membres de la Division Nationale de la Police Judiciaire, sur la base de données précises fournies par les services de la Direction Générale de la Surveillance Nationale du Territoire, ont arrêté 21 personnes, dont Adul, un conseiller du groupe, des responsables et employés du groupe. , soupçonné d’avoir commis des actes criminels. être lié à un réseau criminel actif. En falsifiant des documents officiels et coutumiers dans le but de saisir des biens immobiliers privés et publics, et en usurpant l’identité de caractéristiques réglementées par la loi pour faciliter la commission d’actes frauduleux. Ceux qui souhaitent immigrer.
Les suspects ont été arrêtés lors d’opérations simultanées menées dans les villes de Beni Mellal, Ouarzazate, Azrou, Tinghir, Ain Taoujdat et Imouzar, après que les procédures de perquisition ont révélé des soupçons sur leur complicité et leur implication intentionnelle dans la falsification de titres de propriété légaux et la recherche de l’aide de faux témoins. , aux fins de saisir des biens immobiliers du domaine public ou appartenant à des particuliers, notamment étrangers.
La même source ajoute que des recherches sur le terrain ont montré que certains des détenus étaient impliqués dans l’escroquerie de ceux qui voulaient immigrer à l’étranger, leur volant diverses sommes d’argent en échange de promesses fictives de délivrance de visas. et des contrats pour travailler à l’étranger.
Les contrôles effectués dans le cadre de cette affaire ont abouti à la saisie d’un ensemble de faux titres de propriété, contrats de travail et visas, outre la saisie de supports de stockage et de matériel informatique utilisés à des fins de faux, outre la saisie de récépissés. pour les transferts financiers soupçonnés d’être le produit de ces activités criminelles.
Le réseau criminel comprend un juge des documentations ayant travaillé au tribunal de première instance de Sefrou, ainsi qu’un avocat de la préfecture de Meknès, un juge, des conseillers collectifs, des agents publics et de faux témoins.