Selon le chef de la diplomatie russe, la Fédération de Russie serait « prêt à écouter » d’éventuelles propositions de paix, les rapports hebdomadaires sur son site Internet Dzerkalo Tyjnia. Et il a également assuré “que la France s’est tournée plus d’une fois vers la Russie, par des voies fermées, pour proposer d’établir un dialogue sur la guerre russo-ukrainienne sans la participation de l’Ukraine”, ajoute quotidiennement en ligne Vérité ukrainienne.
En réalité, souligne le portail d’information Sotsportal, qui s’appuie sur une analyse desInstitut pour l’étude de la guerre Américain, «La Russie n’a en rien modifié les conditions des négociations avec l’Ukraine. [Elle] insiste sur des discussions exclusivement selon les conditions qu’il a fixées à Istanbul en mars 2022 ». Qui sont toujours aussi rigoureux, exigeants “entre autres, la neutralité de l’Ukraine, l’interdiction de son entrée dans l’OTAN et la réduction de ses forces armées à 85 000 hommes, […] une version plus détaillée de l’ultimatum lancé par Vladimir Poutine avant le début de l’invasion à grande échelle” en février 2022.
Or, sur le terrain, « La progression russe est désormais bloquée vers Pokrovsk, Toretsk et Vouhledar ». Il n’en reste pas moins qu’en 2024, l’armée r
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