Par PS
Publié
23 décembre à 12h50,
mis à jour 23 décembre à 14h49
Selon le dernier rapport démographique de l’Insee, il y a moins de 10 000 habitants d’écart entre Lyon et Toulouse, qui a gagné 5 000 habitants par an en moyenne depuis 2016.
Fin 2022, les Toulousains comptaient 511 684 habitants, selon le dernier bilan démographique publié par l’Insee. La ville rose a gagné environ 5 000 habitants (+1,2) par an depuis 2016, renforçant la très nette progression démographique de la région Occitanie qui est la région française avec la plus forte croissance démographique sur la période. Avec un peu plus de 6 millions d’habitants, l’Occitanie est la quatrième région la plus peuplée du pays.
Cette croissance démographique régionale est tirée par l’attractivité de ses deux plus grandes villes, Montpellier (+1,5% chaque année) et Toulouse, qui est la préfecture de la région. La ville de Haute-Garonne compte désormais une population presque aussi nombreuse que celle de Lyon : un total d’un peu plus de 9 000 habitants sépare désormais la démographie des deux communes. Si la croissance démographique de Toulouse se poursuit au même rythme, les Toulousains ne tarderont pas à classer leur ville au 3ème rang démographique du pays, derrière Marseille (877 215 habitants) et bien sûr Paris (où vivent encore 2 113 705 personnes).
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Cependant, ce n’est pas la natalité plus élevée qui explique le succès démographique des villes occitanes, mais leur attractivité : chaque année à Toulouse et Montpellier, il y a plus de personnes qui s’y installent que de personnes qui la quittent.
D’une manière générale, c’est sur les côtes (atlantique et méditerranéenne) ainsi qu’à Bordeaux et Nantes, outre Toulouse et Montpellier, que les villes françaises voient leur démographie augmenter le plus.
The population, however, is stagnating in five regions: Hauts-de-France, Grand Est, Normandy, Burgundy-Franche-Comté and Centre-Val de Loire.
Quant à l’outre-mer, la population diminue en Martinique et en Guadeloupe mais augmente en Guyane et à la Réunion.
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