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Alfred Schreuder est aujourd’hui l’entraîneur d’Al-Nasr. Mais il apprend aussi, comme doit le faire un joueur, à écouter son corps.
Alfred Schreuder n’a pas convaincu tout le monde lorsqu’il a aidé le Club de Bruges à remporter le titre il y a un peu plus de deux ans. Par la suite, son séjour à l’Ajax a été écourté et il s’est depuis exilé aux Émirats arabes unis. Les derniers mois n’ont pas été faciles sur le plan personnel. “Lors d’un déjeuner avec des proches, ils m’ont dit que si je partais au Moyen-Orient à 50 ans, ça ne pourrait pas faire de mal de faire un petit scanner médical”, explique-t-il à Telegraaf. Un conseil qui s’est avéré crucial : pendant À l’examen, nous avons découvert des signes d’une crise cardiaque. “Le médecin m’a demandé s’il y avait eu un moment au cours de la dernière année et demie où j’avais eu des problèmes de vision, car ils avaient vu une tache blanche à l’arrière droit de mon cerveau, la partie visuelle”. Il se souvient alors d’un épisode qui remonte à son séjour à Bruges : « Je travaillais depuis un moment, j’avais regardé mon téléphone et je ne parvenais plus à lire mes messages. Je suis resté assis tranquillement pendant un moment, j’ai attrapé le journal, mais je n’ai pas pu le lire non plus. Toutes les lettres étaient mélangées. Après dix minutes, ma vision était à nouveau bonne. Rétrospectivement, je ne l’ai dit à personne. intelligent. »C’est un caillot de sang qui a failli empirer. Le résultat de tout le stress intériorisé par le Néerlandais. Plus que sa passion débordante sur le banc, il a dû faire face à la mort de sa fille. « Le stress chronique m’a presque tué. Les médecins m’ont dit que j’avais de la chance. Depuis, il a subi une opération chirurgicale réussie et a appris à savourer toutes les petites choses qui rendent la vie si précieuse.
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