Il vendait des cigarettes de contrebande sur les réseaux sociaux, un commerçant de Dordogne interpellé

Il vendait des cigarettes de contrebande sur les réseaux sociaux, un commerçant de Dordogne interpellé
Il vendait des cigarettes de contrebande sur les réseaux sociaux, un commerçant de Dordogne interpellé

La vente de tabac de contrebande n’est plus l’apanage des grandes villes. En témoigne la saisie d’une importante quantité de marchandises chez un épicier du centre-ville de Sarlat (Dordogne), jeudi 28 novembre au matin.

Selon nos informations, l’homme proposait sur les réseaux sociaux ses cartouches de tabac importées d’Espagne. Situé à proximité d’une école, l’accusé en vendait également une partie à des jeunes de Sarlad en leur vendant des cigarettes simples, ce qui est strictement interdit par la loi.

Convoqué au tribunal le 6 mai

Des militaires de la brigade de recherches (BR) de la compagnie de gendarmerie de Sarlat ont mené discrètement l’enquête sur Internet pendant plusieurs mois avant de placer le suspect en garde à vue.

Poursuivi pour détention et vente frauduleuse de tabac importé de l’étranger, il sera convoqué le 6 mai 2025 devant le tribunal correctionnel de Bergerac. Il est passible d’une peine de prison et d’une amende pouvant aller jusqu’à 500 000 euros.

Contacté par « Sud Ouest », le président de la Fédération des buralistes de Dordogne, Stéphan Picaglia, a voulu « saluer le travail des gendarmes » à l’heure où le trafic de contrebande (produit importé d’un pays étranger) et celui de contrefaçon ( le tabac est fabriqué dans des usines clandestines installées sur le territoire français).

Un essai par exemple ?

Au plus tard ce lundi 2 décembre au matin, Me Myriam Vincens-Hourez, avocate au barreau de Bordeaux, a représenté la Fédération des buralistes du Périgord au civil du procès de deux hommes reconnus coupables en octobre de détention illégale et vente de contrebande. tabac. Les deux individus ont été interpellés dans la nuit du 25 au 26 mai allée du Port, à Périgueux, par un équipage de la brigade anticriminalité de Périgueux. Ils étaient alors en possession de 30 cartouches de Winston à 120 euros l’unité et de 220 cartouches de Malboro à 125 euros l’unité.

 
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