L’homme, né en 1972, est soupçonné d’avoir tiré plusieurs coups de feu dans la nuit du 1er au 2 juillet et, selon un témoin, d’avoir tenu des propos racistes. La police l’a recherché pendant plusieurs heures, avant de l’interpeller au petit matin.
Ça a été un scandale à La Grand-Combe, un village des Cévennes gardoises. Dans la nuit du lundi 1er au mardi 2 juillet, un individu a erré dans les rues de la commune et a tiré plusieurs coups de feu avec un fusil, sans faire apparemment de victime. Selon un témoin, il aurait également tenu au même moment des propos racistes.
Il a été arrêté vers 7 heures du matin.
Alertés vers 3 heures du matin, les gendarmes du Grand-Combien se sont immédiatement lancés à la recherche de cet individu. Et ce n’est que vers 7 heures, alors qu’ils s’apprêtaient à lever le dispositif de recherche mis en place, qu’ils ont été prévenus de nouveaux coups de feu, ce qui leur a permis d’interpeller le suspect à proximité de son domicile.
Les témoins n’ont pas encore été entendus
Cet homme du Gard, âgé de 52 ans, qui était manifestement sous l’emprise de stupéfiants, a été immédiatement placé en garde à vue à la gendarmerie de La Grand-Combe. Pour l’heure, aucun témoin des faits survenus dans la nuit n’a encore été entendu.
