Demain le Télégraphe tire sa révérence, du moins pour cette saison.
Au programme : un apéritif flamenco avec la famille Santiago, et surtout un concert événement, pour clôturer le Festival METEK.
Si le nom d’Ëda Diaz vous est encore inconnu, sachez qu’il ne restera pas anonyme du grand public bien longtemps. Cet artiste franco-colombien au style coloré et résolument moderne monte sur la scène du Télégraphe comme on monte les marches d’une ascension.
Vous le savez, François a à cœur de vous offrir des moments rares et vibrants. Ce sera le cas demain soir, vendredi, avec ce concert final de bouquet, qui prendra des airs de fleurs, d’explosions, d’envolées, tout en mouvement.
Ëda Diaz est chanteuse et contrebassiste. Elle crée, compose, interprète, mélangeant origines latines et Bretagne natale en un savoureux élixir. A la croisée des genres, pop/électro/latino, on lui prête une « french touch colombienne », mais elle est bien plus que cela : sa musique est un bijou, et son spectacle une ode à la fête, à la célébration.
Demain, c’est la dernière et donc l’ultime occasion de nous perdre ensemble, dans un univers sonore inclassable, entêtant. Vous êtes si peu nombreux à avoir pris place pour ce rendez-vous exceptionnel ! Le Télégraphe vous invite donc, vous encourage, à vivre vos meilleurs frémissements : la chair, le cœur, l’esprit, en rythme, en toute liberté. Les espaces d’expression deviennent si rares… Profitez du nôtre vendredi soir, pour découvrir cette Beauté sauvage d’une artiste féminine, et laisser toute la place à votre âme d’enfant.
JE RÉSERVE LA DERNIÈRE PLACE DE LA SAISON !
