Bruno Retailleau soutient les fidèles de la basilique Saint-Denys d’Argenteuil vandalisée

Bruno Retailleau soutient les fidèles de la basilique Saint-Denys d’Argenteuil vandalisée
Bruno Retailleau soutient les fidèles de la basilique Saint-Denys d’Argenteuil vandalisée

La basilique, qui abrite la relique de la Sainte Tunique du Christ, a été la cible de plusieurs actes de vandalisme ces dernières semaines. Deux adolescents ont été arrêtés il y a dix jours, alors que les exactions inquiétaient les fidèles.

«Soutien total aux fidèles de la basilique Saint-Denys d’Argenteuil» : ce lundi, le ministre de l’Intérieur et des Cultes Bruno Retailleau a voulu marquer son soutien aux catholiques du sanctuaire diocésain d’Argenteuil, connu pour abriter la Sainte Tunique portée par le Christ. Bruno Retailleau dénoncé « dégradation insupportable » contre le bâtiment depuis plusieurs semaines, appelant à ce que les auteurs de ces actes soient « puni avec la plus grande sévérité ». « Attaquer ce qui est sacré pour les croyants est une grande lâcheté contre laquelle je lutterai toujours de toutes mes forces. » a conclu Bruno Retailleau.

Depuis plusieurs semaines, la basilique Saint-Denys est la cible de dégâts répétés. En septembre dernier, le curé a découvert un pénis tagué sur le presbytère, rapporte Europe 1. Quelque temps plus tard, la partie supérieure d’une croix latine en bois de « grande valeur » a été arrachée, poursuivent nos confrères. Puis des excréments ont été retrouvés dans une des chapelles de la basilique.

Il y a une dizaine de jours, deux adolescents âgés de 14 et 16 ans ont été arrêtés et placés en garde à vue après avoir été surpris par le sacristain criant « Allah Akbar ».

Cet enchaînement de dégâts inquiète les fidèles, souligne Europe 1, alors que la prochaine exposition de la Sainte Tunique du Christ est prévue en mars prochain.

 
For Latest Updates Follow us on Google News
 

PREV Une formation esthétique CMA inaugurée pour la rentrée 2025 à Mirande, un cursus unique dans le Gers
NEXT pourquoi les joueurs du XV de France, mis en examen pour viol, ne seront pas déterminés ce lundi sur leur demande de licenciement