Loire and Haute-Loire. Maison Mélina supports the rise of senior shared accommodation

Loire and Haute-Loire. Maison Mélina supports the rise of senior shared accommodation
Loire and Haute-Loire. Maison Mélina supports the rise of senior shared accommodation

Entre maisons de retraite et résidences seniors où chacun vit chez soi, une nouvelle forme de logement se développe en depuis plusieurs années : la colocation senior. Sur le même modèle que la colocation telle qu’on la connaît habituellement – ​​notamment les étudiants (moins de fêtes et de vaisselle sale dans l’évier…) – la colocation senior propose à ses résidents chacun leur appartement, mais avec des repas communs et des espaces partagés pour briser la solitude. dont souffrent de nombreuses personnes âgées, seules ou loin de leur famille.

Maison Mélina in Saint-Chamond. Photo Blandine Baudier

Une expérience des Maisons Marguerite

Thierry Sabot connaît bien le sujet puisqu’il a été l’un des partenaires, depuis sa création en 2015, des Maisons Marguerite, ce concept de colocation seniors né à Tence en Haute-Loire et porté par Jacqueline et Mathieu Decultis (27 maisons aujourd’hui en France). , organisés en concessions). En 2022, il choisit de se retirer de la Maison Marguerite pour créer sa propre entreprise : Maison Mélina, à Saint-Genest-Lerpt.

Avec un modèle un peu différent : l’idée ici est plutôt d’accompagner des porteurs de projets de colocation seniors, mais sans déboucher sur une concession ou une franchise. La Maison Mélina est rémunérée pour ses prestations, à la carte : étude de faisabilité, croquis d’aménagement, devis de travaux, business plan, gestion des travaux (avec une autre société de Thierry Sabot : Activ Travaux), éventuellement prestation d’une prestation de gérance etc. Et lorsque les travaux sont terminé, le client nomme sa maison comme il le souhaite, sans rien devoir d’autre à la Maison Mélina.

« Nous pouvons proposer une gamme assez large de modèles de colocation seniors allant de l’habitat inclusif aux projets solidaires, en passant par la colocation plus traditionnelle ou 100 % sur-mesure. Nous nous adaptons à chaque demande mais l’objectif, au bout du chemin, est toujours le même : offrir un milieu de vie sécuritaire et convivial aux seniors en allègeant leurs contraintes quotidiennes et en leur permettant d’interagir au quotidien avec leurs pairs, tout en préservant leur autonomie et leur indépendance. Ils sont chez eux, partent et reviennent quand ils veulent », explique Thierry Sabot.

Four Mélina houses in the Loire and Haute-Loire

L’entrepreneur explique avoir soutenu, avec sa casquette Maison Melina, la création d’une colocation seniors à Châteauroux (ouverte en septembre) et est actuellement en discussion pour de nouvelles colocations à Montrond-les-Bains et Savigneux (avec des investisseurs privés). et à Luriecq (avec la mairie). « Il faut un an entre la prise de contact et la finalisation. En général, nous ne demandons pas d’aide financière, avec un modèle économique équilibré, qui nous permet d’avancer plus vite.

Parallèlement, il investit lui-même (seul ou avec d’autres investisseurs) dans sa propre colocation senior. Il a participé (en tout ou partie) au financement, monté le projet, et exploite aujourd’hui quatre Maison Mélina : à Saint-Didier-en-Velay (ouverture en 2021), à Saint-Just-Saint-Rambert (2022) , à Feurs et Saint-Chamond ouvert cette année. Tous proposent entre 8 et 10 chambres meublées (20 à 30 m² avec salles de bains) pour un budget de 1 800 à 2 000 euros par mois (en tenant compte d’un crédit d’impôt de 50 %). Dans chacun d’eux, trois personnes se relaient pour assurer l’intendance.

« Si d’autres opportunités se présentent, j’investirai peut-être à nouveau dans mes propres logements, mais la priorité de Maison Mélina est d’accompagner les porteurs de projets pour contribuer au développement rapide des colocations seniors car je suis convaincu qu’« elles représentent une véritable solution de logement pour ces personnes ». .»

France

 
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