Par
Raphaël Delaveaux
Publié le
17 novembre 2024 à 11h50
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Famille Mary, une entreprise Famille française spécialisée dans les trésors de la ruche, qui fête cette année ses 103 ans d’existence, a ouvert, jeudi 7 novembre, son 41e boutique, in the town center of Enghien-les-Bains (Val-d’Oise).
De la ruche au palais
L’aventure commence en 1921, en Anjou (sud Val de Loire), au bord de la Moine.
Il y a 103 ans, Jean Mary fondait cette belle entreprise familiale qui a fait du miel un savoir-faire séculaire, qui se transmet depuis en famille comme un bien précieux.
C’est Sylvain Rottier, petit-fils de Jean Mary, qui a repris le flambeau.
Et ce n’est pas sans ferveur qu’il en parle.
J’ai vendu mon premier pot de miel à 12 ans. J’ai toujours été apiculteur et je m’y consacre entièrement.
L’inauguration, jeudi 7 novembre, de son nouvelle entreprisefut aussi l’occasion d’accueillir ses premiers clients.
L’atmosphère était dégustation.
Sylvain Rottier et Caroline Natario, la gérante du commercea raconté en détail une partie de l’histoire du miel, « leur miel »,
Il se distingue, selon l’apiculteur, par « une méthode de brassage unique, ce qui lui donne un aspect crémeux, onctueux, moelleux, comme une pâte à tartiner.
Et d’ajouter : « Cette méthode garantit que le miel est toujours constant, et c’est l’un des savoir comment de la maison. »
Chérie comme nous l’achetons boutiquesen pot, prêt à consommer, est le résultat d’un processus de fabrication étonnant par sa complexité mais surtout par sa minutie.
Pour fabriquer un kilo de miel, il faut environ 800 000 abeilles, qui doit parcourir 40 000 kilomètres et visiter environ trois millions de fleurs.
Un travail plus que minutieux
Une abeille « en bonne santé » produit un peu moins de 200 mg de miel.
Le rendement moyen national est d’un peu moins de 20 kg de Chéri par ruche et par an.
Cette dernière est en forte baisse ces dernières années, principalement liée à la bulletin météo très pluvieux, ce qui empêche les abeilles de sortir et donc de récolter peu de nectar.
Une citation apocryphe d’Albert Einstein avertissait que « si leabeille si elle disparaissait, l’espèce humaine n’aurait plus que quatre ans à vivre.
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