«C’est une perte sentimentale»

«C’est une perte sentimentale»
«C’est une perte sentimentale»

Nul doute que le canis lupus est à l’origine de la perte d’un animal de la ferme équestre située à Demi-Quartier. Des agents de l’Office français de la biodiversité (OFB) sont venus confirmer l’attaque de la propriété dénommée « Le Cheval de Feug ».

Ce contenu est bloqué car vous n’avez pas accepté les cookies et autres traceurs.

En cliquant sur ” J’accepte “des cookies et autres traceurs seront placés et vous pourrez visualiser le contenu (Plus d’information).

En cliquant sur “J’accepte tous les cookies”vous autorisez le dépôt de cookies et autres traceurs pour le stockage de vos données sur nos sites et applications à des fins de personnalisation et de ciblage publicitaire.

Vous pouvez retirer votre consentement à tout moment en consultant notre politique de protection des données.
Gérer mes choix


J’accepte
J’accepte tous les cookies

Son propriétaire est revenu : « Je suis en colère ». Bien sûr, il y a la perte financière mais pour François Duvillard à la tête d’un élevage de 180 chevaux, l’argent n’est pas l’essentiel, « c’est d’abord une perte sentimentale ».

Les restes retrouvés ce dimanche 16 juin au matin sont déchirants. Dans un pâturage de quatre hectares, ce poulain de moins de trois semaines dévoré par le loup a été retrouvé en bordure du pré. Heureusement, les trois autres jeunes n’ont pas été blessés, ni leur mère. Mais François Duvillard parle d’en avoir marre, « pour nous, c’est la troisième fois ». Sur d’autres sites du Petit-Bornand ou de Saône-et-Loire, le prédateur a déjà causé des dégâts dans l’élevage équestre.

Après cette attaque au pays du Mont-Blanc, François Duvillard et son fils ont souhaité monter un dossier pour obtenir des autorisations de tirs défensifs.

 
For Latest Updates Follow us on Google News
 

PREV Homicide, Manche et fraises dans l’actualité du 7 juin dans l’Indre
NEXT Le projet « Cruella from Hell » de voler sept chiots jugés devant le tribunal