« Genk me voulait à ce moment-là… » – Tout le football

« Genk me voulait à ce moment-là… » – Tout le football
« Genk me voulait à ce moment-là… » – Tout le football

Yannick Carrasco est actif en Arabie Saoudite et après la Chine, cela devrait lui offrir un sacré coussin financier pour, éventuellement, finir sereinement là où il le souhaite. En Belgique ? Il n’est pas contre.

Yannick Carrasco avait été l’un des précurseurs européens lors du décollage de la Super League chinoise, et a été le premier Belge à rejoindre l’Arabie Saoudite l’été dernier lors du boom de la Saudi Pro League.

Décidément, l’ancien de l’Atlético Madrid n’a pas honte de signer dans un club pour l’argent. Et l’Arabie Saoudite est à un autre niveau que la Chine, assure-t-il : « Déjà, on peut jouer avec 8 étrangers, c’était 3 en Chine. Ensuite, les Saoudiens eux-mêmes sont meilleurs : leur équipe nationale joue régulièrement la Coupe du monde », souligne Carrasco lors d’une conférence de presse.

Casteels… et bientôt d’autres Diables avec Carrasco ?

« Bien sûr, j’ai joué en Espagne, et c’était le meilleur. Vous ne pouvez pas comparer. Mais l’Arabie Saoudite s’améliore de jour en jour », poursuit Carrasco. « Il y a 4-5 très bonnes équipes, les autres sont plus faibles mais c’est mieux qu’en Chine. Je ne pense pas avoir perdu mon niveau. Au contraire, avec l’expérience, on progresse, on fait de meilleurs choix, on joue plus intelligemment.

Ma qualité de vie n’a pas changé en Arabie Saoudite

Et bien sûr, les salaires attirent de plus en plus de joueurs européens. Casteels s’est renseigné auprès de Carrasco avant de signer dans les sables saoudiens. “Je pense qu’il est logique de poser des questions à quelqu’un qui vit là-bas”, a déclaré le joueur d’Al-Shabab.

Genk voulait Carrasco… depuis longtemps

« Ma réponse est que ma qualité de vie n’a pas changé par rapport à l’Espagne. Je vis dans une résidence avec d’autres familles de joueurs, c’est sympa. Il y a des joueurs de mon club et d’Al Nassr notamment”. Pas de Cristiano Ronaldo en revanche : « Non, il a un quartier à lui tout seul », plaisante Yannick Carrasco.

« Mais de plus en plus d’acteurs européens demandent des informations. Ivan Rakitic, mon coéquipier, m’a déjà dit que de son côté aussi, il recevait beaucoup de messages de joueurs en quête d’informations”, révèle encore le Diable Rouge.

Et après avoir gagné beaucoup d’argent, pourquoi ne pas terminer votre carrière en Belgique ? « J’ai toujours dit que j’y étais ouvert à un moment donné. Il fut un temps où les clubs belges étaient intéressés… mais c’était il y a longtemps, quand je ne jouais pas à Monaco et que ma situation était un peu floue”, raconte Carrasco. « Quels clubs ? Genk, je m’en souviens. J’ai oublié les autres… Mais j’ai fini par rejouer à Monaco et ça ne s’est pas produit.

 
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