Ces clichésn’aura lieu que dans les zones où une présence inhabituelle et importante de vautours fauves est constatée.prévenir les services de l’État.
La préfecture de l’Aveyron vient de prendre l’arrêté concernant « mesures expérimentales d’effarouchement » concernant le vautour fauve afin de « pour répondre aux inquiétudes croissantes des éleveurs concernant les interactions observées ».
« Depuis 2020, plus de 170 rapports entre vautours fauves et bovins ont été enregistrés, notamment dans les secteurs du Lévezou et de l’Aubrac, soulevant de vives interrogations chez les professionnels de l’élevage, peu familiers avec la présence de vautours. “compléter les services de la préfecture.
« Balles à blanc »
« Ainsi, compte tenu de la persistance de ces situations et afin d’éviter les interactions autour des bâtiments d’élevage et dans les pâturages où sont présents des bovins, des mesures d’effarouchement seront mises en place à titre exceptionnel. Ces mesures ont reçu un avis favorable du Conseil Scientifique Régional du Patrimoine Naturel (CSRPN) d’Occitanie, visent à éloigner les vautours fauves à l’aide de munitions non létales (« balles à blanc »), visant à les faire prendre leur envol sans nuire à leur état. de conservation.
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Ces clichésn’aura lieu que dans les zones où une présence inhabituelle et importante de vautours fauves est constatée.prévenir les services de l’État. « Toute intervention doit être autorisée par le préfet et ses services, et seules les personnes ayant suivi une formation spécifique délivrée par l’Office français de la biodiversité (OFB) et la Direction territoriale départementale (DDT) seront autorisées à précéder ces tirs. d’effrayant.
Une mesure « injustifiée »
Plusieurs associations de défense des animaux avaient dénoncé une mesure »injustifiée et potentiellement dangereuse pour l’espèce. « Ces clichés ne résoudront en aucun cas les problèmes soulevés par certains éleveurs. En revanche, ils pourraient provoquer de graves perturbations dans les colonies de vautours pendant la saison de reproduction et affaiblir les efforts de conservation menés depuis des décennies.estime de son côté la LPO.