« le TGV a la cote auprès des Français », assure Rachel Picard

« le TGV a la cote auprès des Français », assure Rachel Picard
« le TGV a la cote auprès des Français », assure Rachel Picard

Les concurrents de la SNCF sont très, très rares car ce n’est pas si simple de faire circuler des trains en France. Rachel Picard a passé 15 ans à la SNCF, elle est la fondatrice de Proxima, « une entreprise indépendante de trains à grande vitesse 100% made in France ». « Nous relierons à Paris les quatre grandes villes de la façade atlantique : Bordeaux, Angers, Nantes et Rennes », elle explique.

Selon Rachel Picard, « la conscience écologique commence à vraiment peser sur le choix de transport des Français ». Elle met également en avant la mobilité accrue des Français depuis la crise sanitaire du Covid-19. « Aujourd’hui, le TGV a la cote auprès des Français, mais les voyageurs ne trouvent pas de place », juge-t-elle. Le chef d’entreprise promet de “ajouter 10 millions de sièges par an à ces destinations”.

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Douze trains capables de transporter « près de 600 passagers »

Les trains qui circuleront pour l’entreprise seront ceux du constructeur Alstom, « de la dernière génération ». « Nous allons acheter douze TGV à deux niveaux, les plus modernes et les plus confortables », elle explique. Trains construits dans les usines de Belfort et de La Rochelle. « Chaque TGV transporte près de 600 passagers », ajoute Rachel Picard. Son objectif est de rechercher de nouveaux clients. La maintenance sera réalisée près de Bordeaux. Le premier train partira de Belfort “faire des tests dynamiques” début 2027.

Elle promet « des tarifs adaptés à chacun » mais aussi « être plus agile avec les plannings ». Un TGV qui n’est ni haut de gamme ni low-cost, selon elle. « On peut trouver des endroits bon marché, mais il faut s’y prendre de plus en plus à l’avance. Si vous ajoutez de la capacité, vous baissez automatiquement les prix »elle explique.

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