avec Le Slip français, Armor-Lux crée le « slip breton »

avec Le Slip français, Armor-Lux crée le « slip breton »
avec Le Slip français, Armor-Lux crée le « slip breton »

Malgré les températures encore douces du début de l’automne, mieux vaut être bien au chaud en sous-vêtements pour parer au froid des mois à venir. Et pourquoi pas des slips français « made in Breizh », façon marinière ? Armor-Lux et Le Slip Français, deux icônes françaises de la couture « made in », se lancent dans la couture largement bretonne, et sortent, ce samedi 2 novembre, toute une collection de vêtements (sous-vêtements, maille peau, t-shirt , marinière et pull) qui revisitent la célèbre rayure finistérienne. Y compris ces slips, désormais bretons !

« Tout est né d’une initiative du Slip Français », raconte Thomas Guéguen, directeur général d’Armor-Lux, devant la chaîne de production de l’usine située près de Quimper (Finistère). « Ils nous ont contactés peu avant l’été, et on s’est dit : allons-y ! D’autant que nous partageons beaucoup de valeurs éthiques communes, dont la défense de l’emploi en France. »

Chaque produit de cette nouvelle collection, qui sera disponible dans les plus grandes boutiques des deux marques et sur leurs sites internet respectifs, arbore une cocarde « Armor-Lux – Le Slip Français » et est associé à un phare mythique du Finistère (Créac’h , Stiff, Eckmühl, Kéréon, Ar-Men, Petit Minou et Îles Vierges). Les vêtements et sous-vêtements conçus par Le Slip Français et Armor-Lux sont fabriqués en France. La marinière, le t-shirt, le débardeur, la culotte et le pull marin sont tricotés et confectionnés dans les ateliers Armor-Lux à Quimper et Troyes (Aube), les slips et boxers sont fabriqués chez Eminence, partenaire industriel de Slip Français depuis 2016, à Nîmes.

«Nous sommes ravis de cette collection», déclare Thomas Guéguen. « Beaucoup de gens ignorent que la bonneterie constitue une partie historique de notre activité ; Cela nous permet de mettre en valeur cet aspect de notre savoir-faire. »

Pour l’instant, 9 000 pièces ont été produites et distribuées sur les deux réseaux. « En fonction du succès, nous pourrons relancer la production de manière régulière, voire démarrer avec une nouvelle collection », anticipe Thomas Guéguen.

 
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