Valérie Plante n’a pas apprécié que Pierre Poilievre la traite encore une fois d’incompétente après - a révélé que les délais d’obtention d’un permis de construire ont plus que doublé malgré la pénurie de logements. On peut comprendre son irritation. La vérité blesse!
Idéologue
Mmoi Plante incarne la pire version des politiques, celle des idéologues prêts à sacrifier le bien-être de leur population sur l’autel de leur utopie.
Chevalier autoproclamé de l’écologie, elle espère contrôler le climat et sauver la planète. Elle est également vice-présidente du comité directeur du C40, un réseau mondial de maires unis dans l’action climatique. Objectif phare du C40, la neutralité carbone d’ici 2050, est notamment au cœur du « Plan Climat » de l’administration Plante.
Mais avant de vouloir sauver la planète, elle devrait commencer par prendre soin de sa ville.
Montréal était autrefois la métropole du Canada. Aujourd’hui, c’est une ville en décadence.
Les devantures d’innombrables commerces fermés accueillent les graffitis. L’insécurité augmente à mesure que la violence s’installe dans les rues et dans le métro. Les rues, jonchées de déchets, sont un hommage olfactif et visuel à son administration. Quant à la crise des sans-abri, elle est plus préoccupante que jamais.
Cependant, Mmoi Plante gaspille son temps et notre argent dans des mesures insignifiantes comme l’interdiction des fours à bois dans les pizzerias et les boulangeries de bagels, l’instauration de trottoirs en éponge, la boîte «Bienvenue bébé», sans compter les centaines de millions de dollars pour les pistes cyclables.
utopie
Mmoi Plante a transformé Montréal en laboratoire de son utopie verte. Elle ne parvient pas à délivrer les permis de construire dans les délais, mais elle souhaite contrôler le climat. Elle est incapable de sauver les plus vulnérables de l’itinérance, mais elle veut sauver la planète.
Heureusement pour Mmoi Plante, le ridicule ne tue pas ! Malheureusement pour nous, son idéologie est économiquement et socialement toxique.
