Quatre territoires. Le département a été découpé en quatre territoires dont chacun respecte la cohérence écologique et paysagère.
– Garrigues et plaines : il comprend Alès, Pont-Saint-Esprit, Uzès, Sauve… Depuis 1959, les températures ont augmenté de 1,4° et les précipitations ont diminué de 30 % en hiver, de 20 % en été et de 25 % en automne. 50% de forêts et zones humides, 43% de zones agricoles.
– Ceinture du Rhône : le long du Rhône jusqu’à Beaucaire puis jusqu’à Nîmes. Plus 1,4° depuis 1959. Territoire qui compte 13% de surfaces artificialisées et 59% de surfaces agricoles. Ressource en eau « sécurisée » avec les nappes phréatiques du Rhône, de la Vistrenque et des Costières.
– Cévennes : autour du Vigan jusqu’à l’Aigoual. Là, la température a augmenté de 2,1° depuis 1959. 89% de forêts, 9% de zones agricoles et 2% de zones artificialisées. L’eau y est un enjeu majeur. Moins 40% de précipitations en hiver, -35% en été, +15% en automne.
–Camargue : autour du Grau-du-Roi. Moins 25% de pluie en hiver, -15% en été, -5% au printemps et +2% en automne. Les problèmes : une forte croissance démographique et une montée du sel qui menacent l’agriculture.
Sept réunions. Elus, associations, usagers, institutionnels sont invités à partager diagnostic et solutions sur la gestion de l’eau. Ils ont tous lieu de 18h à 20h30 lundi 10 juin, aux archives départementales de Nîmes ; mardi 18 juin, au Pont du Gard (rive gauche) ; mercredi 19 juin, Espace Vergèze, à Vergèze ; jeudi 20 juin, espace culturel, à Sauve ; Lundi 24 juin, Epide, Grand-Combe ; Mercredi 26 juin, salle des fêtes à Roquemaure ; Jeudi 27 juin, salle polyvalente, à Avèze.
un site d’information : eauclimat.gard.fr
