Partout où passe la flamme olympique, les foules se pressent. De quoi rassurer le conseil départemental d’Ille-et-Vilaine qui avait choisi, il y a deux ans, d’investir 180 000 € pour accueillir ce symbole des Jeux de Paris 2024 (JO). A l’inverse, d’autres Départements ont refusé, jugeant la facture trop élevée. C’est le cas des Côtes-d’Armor et de la Loire-Atlantique.
Dans cette dernière, plusieurs communes de la Loire, dont La Baule, ont finalement pris le relais, cassant la tirelire pour que la flamme leur passe. En Ille-et-Vilaine, au contraire, l’unité est indispensable. « Nous ne pouvons pas vivre les uns sans les autres, résume Frédéric Bourcier, conseiller sportif à la Ville de Rennes, et nous le faisons sans aucune hésitation. La flamme est ce qui unit le plus parmi les symboles de l’Olympisme. »
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A Rennes, un coût estimé entre 250 000 € et 300 000 €
Pourtant, les communautés traversées par la flamme savent que la facture peut être salée. À Rennes, le coût est estimé entre 250 000 et 300 000 €. Il faut dire que la capitale bretonne a le statut de ville étape. En fin de journée, la flamme parcourra près de 10 km à travers son territoire, avant d’allumer un brasier olympique en centre-ville.
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