La Ville de Québec vise à acquérir un terrain

La Ville de Québec vise à acquérir un terrain
La Ville de Québec vise à acquérir un terrain

Pour protéger le lac Saint-Charles, qui alimente en eau près de 300 000 citoyens, la Ville de Québec souhaite acquérir d’autres terrains dans le bassin versant.

• Lire aussi : Eau potable : le vieillissement du lac Saint-Charles s’accélère

• Lire aussi : Principale Source d’eau potable au Québec : 60 millions de dollars pour la protection du lac Saint-Charles

La Municipalité a conclu une entente avec ses voisins de Stoneham, Saint-Gabriel-de-Valcartier et Lac-Delage pour un plan de gestion et de développement des milieux naturels du haut bassin versant de la rivière Saint-Charles. Le lac est la principale Source d’eau potable de la ville de Québec.

Acquisitions

L’une des actions à entreprendre pour protéger la prise d’eau est l’acquisition d’un terrain. « Les acquisitions qui pourraient être réalisées suite à l’élaboration de cette stratégie seraient réalisées en partenariat avec les municipalités ayant adopté le plan, les organismes de conservation et les propriétaires fonciers », a souligné la porte-parole de la Ville, Isabelle. Graton.

Le nombre de terrains couverts n’est pas précisé. La Ville a déjà acheté 82 terrains pour leur donner le statut de réserve naturelle.

Les terrains serviront «que ce soit pour la mise en réserve de terrains de valeur écologique, pour l’aménagement de marais filtrants et autres aménagements ou pour limiter des activités incompatibles», lit-on dans le sommaire des actions pour la protection du lac Saint-Charles et du prise d’eau publiée en 2023.

Impact financier

« Bien qu’il soit difficile de prédire précisément la valeur finale des terrains à acquérir et la rapidité des négociations entre les différentes parties, l’acquisition de terrains constitue un aspect important de l’impact financier de la protection du lac Saint-Charles et de l’eau. consommation », ajoutons-nous.

Le financement se fera grâce à un « budget réservé, des programmes de financement, des dons écologiques et autres ».

D’autres actions à mettre en œuvre consistent à réduire les apports d’eaux usées, de sédiments et de chlorures, ainsi qu’à gérer les risques d’apports de contaminants.

«Cet exercice de consultation consolide notre capacité à pérenniser la ressource en eau, en qualité et en quantité, pour les générations futures», a commenté le maire de Québec, Bruno Marchand, dans un communiqué.

 
For Latest Updates Follow us on Google News
 

PREV fraîcheur insolite au Nord, douceur au Sud – .
NEXT après l’accord LR-RN, le président des Hauts-de-Seine Georges Siffredi quitte Les Républicains