“Maintenant on comprend que certains mots et attouchements ne font pas partie de la fête”

“Maintenant on comprend que certains mots et attouchements ne font pas partie de la fête”
“Maintenant on comprend que certains mots et attouchements ne font pas partie de la fête”

Le débat s’est finalement tourné vers les agressions sexuelles et le(s) viol(s) survenus lors des 24 heures cyclistes de Louvain-la-Neuve. “Les jeunes femmes osent enfin s’exprimer aujourd’hui», a affirmé Fanny Rochez, avant de donner des informations sur les mesures de soutien et de prévention qui ont été mises en place. L’animateur s’interrogeait alors sur l’influence de l’affaire Pélicot et des vagues #MeToo sur la liberté d’expression autour des agressions sexuelles. “Je ne crois pas que ce soit l’affaire Pélicot en soi», un commentaire de Nawal Bensalem. «C’est un autre profil de victime. Je dirais plutôt que c’est le mouvement #MeToo, les réseaux sociaux, le fait d’être directement cru et soutenu dès qu’on s’y confie.

Dans le milieu hétéroclite de l’UCL, un étudiant sur cinq a été victime de viol

Il y a un changement des mentalités qui est vraiment bénéfique, c’est vraiment une bonne chose »a déclaré l’avocat Steve Griess. « Avant, dans ce type de soirée étudiante, où il y a beaucoup d’alcool, certains mots et attouchements étaient acceptés. Maintenant, on comprend que non, ça ne fait pas partie de la fête. (…) On dit que la honte change de camp, je pense que c’est vrai.

Chaque cas est toujours un cas de trop, mais il y a désormais plus d’anticipation qu’avant.», précise le journaliste de la DH Romain Masquelier au sujet des mesures de sensibilisation. Fanny Rochez a ensuite souligné la fréquence de 11 viols par jour en Belgique. « Des chiffres qui donnent des frissons dans le dos», pour Romain Masquelier.

Pauvre vainqueur en hélicoptère des 24 Heures Cyclistes de Louvain-la-Neuve 2024

 
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