Coupe de France (6th round). DC Carhaix (R3) – Ginglin-Cesson Saint-Brieuc (R1), this Saturday (7 p.m.)
Près de 1 100 spectateurs lors du 4e tour de Coupe de France face à Rostrenen, encore 600 samedi dernier en championnat de Régionale 3 contre Spézet pour un nouveau derby.
A chaque match nocturne du DC Carhaix, c’est la fièvre du samedi soir au stade Charles-Pinson, qui ne souffre pas de la concurrence serrée des autres matches.
« Nous adorons jouer le samedi soir à la maison. Nous en faisons la demande dans les plus brefs délais pour les matchs de championnat ou de coupe. Cela nous est arrivé plusieurs fois récemment et à chaque fois nous avons eu un bon résultat», apprécie l’attaquant carhaisien Quentin Le Roux.
« Le stade Charles-Pinson est vraiment adapté pour accueillir des matchs en soirée. Et quand on a la chance de jouer devant plus d’un millier de spectateurs, comme c’est le cas en Coupe de France, ça donne une confiance exceptionnelle pour un match difficile», estime Jimmy Lesniewski. L’entraîneur carhaisien se souvient même d’être venu à Carhaix pour disputer un 7e tour de Coupe de France délocalisé avec Rostrenen contre Bréquigny (0-3) en 2015 devant 1 300 spectateurs.
« Charles-Pinson, c’est notre chaudron, un stade à l’anglaise, avec une ambiance extraordinaire autour du terrain, poursuit Quentin le Roux. Pour nous, sur la pelouse, cela nous transcende, d’autant que les sensations sont vraiment différentes la nuit. Moi, au lieu d’être à 110%, j’ai l’impression d’être à 150% avec toute cette énergie positive. »
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