une lycéenne incapable de « donner le meilleur d’elle-même » devra se contenter du secteur techno

une lycéenne incapable de « donner le meilleur d’elle-même » devra se contenter du secteur techno
une lycéenne incapable de « donner le meilleur d’elle-même » devra se contenter du secteur techno

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Éditorial Paris

Publié le

20 octobre 2024 à 6h52

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Le juge des référés de tribunal administratif de Paris désavoué un élève d’un lycée privé du 13e arrondissement de Paris qui avait été dirigée contre son gré vers le secteur technologique et qui était convaincue que le secteur général « lui ouvrira plus de portes ». Cette adolescente au lycée Saint-Vincent-de-Paul school groupsitué rue Bobillot, près de la place d’Italie, avait saisi la justice en urgence le 30 août 2024, juste avant la rentrée scolaire, pour obtenir la suspension de la décision refusant son orientation en 1ère générale et l’affectant en 1ère technologique.

“Aucun projet futur n’est déterminé pour le moment”

La lycéenne a expliqué au juge des référés qu’elle avait « traversé des difficultés » qui l’avaient empêchée de « donner le meilleur d’elle-même ». Mais ces derniers mois, elle avait toutefois « amélioré sa discipline, son comportement et sa méthode de travail ».

« A défaut d’avoir été informée à temps du caractère incomplet de son dossier, dans lequel manquait une lettre de motivation », elle n’avait « pas pu faire appel » de la décision l’orientant vers la filière technologique. Pourtant, « la filière générale m’ouvrira plus de portes que la filière technologique », estime la lycéenne parisienne, d’autant qu’elle n’a « pas de projet d’avenir précis pour l’instant ».

“La décision (…) a été prise au motif du “niveau global très faible” de Mme être rendue publique.

« Le requérant, qui ne conteste pas sérieusement la motivation de la décision attaquée, ne développe aucun argument à son encontre. Dans ces conditions, sans qu’il soit nécessaire d’examiner la recevabilité de la demande, les conclusions aux fins de suspension (…) doivent être rejetées comme mal fondées », conclut-il.

CB-PressPoivre

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