Les Engagés ont confirmé leur dynamique en juin. Mieux encore, ils l’ont amplifié au point de devenir le deuxième parti aux élections provinciales. Narratif.
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Publié le 19/10/2024 à 06h00
Temps de lecture : 2 minutes
Ffrapper un gros coup dans un autre bastion que le sien. C’est une façon de faire bonne impression. L’action se déroule à Wavre, fief libéral depuis 1977. Autrement dit, toujours. Charles Michel, ancien Premier ministre, y était maire. Déloger les libéraux, c’est un peu comme si Mons, fief d’Elio Di Rupo, avait été prise par le MR. Là, dans la capitale du Brabant wallon, l’impensable s’est produit. Au point de faire de la ville de Maca le symbole de l’importance retrouvée des Engagés. Car, après le succès des élections municipales, on ne peut plus parler de remonté. Ni la résurrection. Mais omnipotent à certains endroits en Belgique, principalement l’axe E411. Et des vagues dans le reste de la Belgique. Et Wavre en est le parfait exemple. « La situation est tellement inattendue et inespérée qu’on n’aurait pas pu en rêver. Rendez-vous compte, nous sommes passés de deux à douze sièges », explique le nouveau maire, Benoît Thoreau.
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