l’essentiel
Le STB, avec plusieurs joueurs diminués, a préféré conserver ses effectifs pour le championnat.
Lorsque le public a vu mardi, lors de la préparation du match contre Poitiers en 32e de finale de Coupe de France, que Samir Mekdad était assis en civil sur le banc, il a compris que le STB ne jouerait pas le match avec le désir absolu de s’imposer. Sentiment confirmé quelques minutes plus tard avec l’absence d’Alexandre Aygalenq dans le cinq de départ.
Poitiers ayant voyagé sans Kevin Harley et le Croate Ivan Ramljak et avec Jonathan Jeanne malade (il est resté tranquillement assis sur le banc toute la soirée) on pouvait dans un premier temps espérer vivre une rencontre équilibrée.
Mais avec leur effectif plus riche, les Poitevins se sont très vite envolés vers un large et facile succès auquel le Bruguiérois Aurèle Brena-Chemille, vainqueur de l’Euro U20 cet été avec l’équipe de France, a pris une part active : « C’est la première fois que je Je viens jouer à Toulouse depuis que j’ai quitté le centre régional du Creps. Il y avait foule. C’est super pour le basket à Toulouse. Il le sera encore plus lorsque Thierry Levade, le team manager du STB, lui offrira un maillot aux couleurs des Toros, imprimé de son nom et de son numéro 44.
Aygalenq toujours invaincu
Alors s’il y avait un numéro 44 sur le terrain mardi, le point 47. Face à l’apparition de petites blessures lors de la rencontre (réveil des contractures de Will Butler et Thibaut Gottin), Laurent Mopsus a offert à Alexandre Aygalenq une soirée de repos en ne le faire entrer en jeu. Le Lot-et-Garonnais reste donc invaincu sous les couleurs du Stade puisqu’il n’a porté ses couleurs depuis la troisième journée que celle de la première des quatre victoires consécutives du STB.
Hier, les Toros sont partis soigner leurs blessures et participer à une opération promotionnelle avec un partenaire. Demain, contre Rennes, ils devront être prêts à prolonger leur série de victoires.
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