En préparation pour les Jeux olympiques d’hiver de 2026, Équipe Canada devra constituer son équipe pour représenter le pays. Bien que la liste des attaquants et des défenseurs soit déjà relativement gravée dans le marbre, on ne peut pas en dire autant du département des gardiens de but.
Dans son article de L’Athlétisme, Pierre Lebrunun journaliste renommé de la LNH, a analysé les options de la brigade canadienne pour les Jeux olympiques en Italie. Mais un autre sujet retient l’attention lorsqu’on parcourt les analyses de Lebrun.
Soyons francs : la génération de gardiens de but canadiens, tant sur la scène internationale que dans la LNH, n’est tout simplement plus du même calibre depuis l’ère post-Price.
“Ce n’est plus la même chose”
Le débat autour des gardiens du Canada était autrefois captivant. Il s’agissait de légendes du hockey, de gagnants du trophée Vézina et de champions de la Coupe Stanley. Avec les polémiques et les changements de dernière minute, cela restait passionnant puisque les meilleurs gardiens du monde étaient impliqués.
Aujourd’hui, ce n’est plus le cas. jeIl n’y a que 14 gardiens canadiens ayant disputé un match au début de la saison dans la LNH. Une statistique alarmante concernant l’avenir du Canada devant les buts de la LNH.
Cependant, même si la qualité et le nombre ont diminué, il subsiste parmi eux un certain pedigree, comme le souligne Lebrun. Mais ce n’est plus la même chose qu’avant.
Il y a certainement un pedigree gagnant dans le groupe, mené par la formidable performance de (Jordanie) Binnington lors de la Coupe Stanley en 2019, ainsi que les victoires de la Coupe Stanley Colline Adin en 2023, Darcy Kuemper en 2022, l’or au Championnat du monde de (Samuel)Montembeault il y a deux ans et Stuart Skinner qui a manqué une victoire d’une victoire en Coupe pour Edmonton le printemps dernier.
Pierre Lebrun
Les options sont limitées pour Équipe Canada.
Selon les informations de Pierre LebrunLes candidats actuels au poste de gardien de but pour le Canada comprennent Jordan Binnington, Stuart Skinner, Colline Adin, Sam Montembeault, Darcy Kuemper, Connor Ingram, Cam Talbot, Logan Thompson et Tristan Jarry. Marc-André Fleury est également mentionné, mais son inclusion semble peu probable.
Quant à l’approche de Don Sweeneyil semble confiant. Il souligne que l’équipe compte des gardiens qui ont déjà prouvé qu’ils pouvaient gagner à haut niveau, même si aucun n’a le profil légendaire de Prix Carey ou Martin Brodeur. Il insiste sur une évaluation constante des performances jusqu’à la date limite du 2 décembre pour nommer les gardiens du Tournoi des 4 Nations. Sweeney adopte une approche à long terme et sans précipitation, évaluant chaque joueur jeu par match.
La compétition est donc ouverte, Binnington semblant avoir un léger avantage en raison de son histoire récente, mais rien n’est encore décidé.
Voici l’article de Pierre Lebrun ci-dessous :
À suivre!