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A Genève, la volonté du gouvernement genevois de modifier, au détriment du salarié, la répartition des cotisations sociales pour le personnel de l’Etat, n’est pas acceptée par les syndicats de fonctionnaires. Lundi, ils ont dit tout le mal qu’ils pensaient de ce projet.

“Nous sommes très en colère”, a souligné devant les médias Geneviève Preti, la présidente du Cartel intersyndical des personnels de l’Etat et du secteur aidé. L’exécutif souhaite porter la contribution de l’État à la CPEG des deux tiers à 58 %. Celle du salarié, un tiers aujourd’hui, passerait à 42 %.

La réforme, qui toucherait également les caisses de pension de la police genevoise et des transports publics, ne concernerait que les nouveaux arrivants dans l’Etat. Les salariés déjà en place conserveraient les conditions actuelles. Pour Mme Preti, si le projet passe, cette distinction provoquera une « fracture générationnelle ».

Le Conseil d’Etat estime qu’avec la nouvelle clé de répartition il permettra d’économiser 14 millions de francs d’ici 2027. Aux yeux de Jean-Luc Ferrière, du syndicat SIT, l’exécutif se moque du monde avec son argument financier. Ces dernières années, les recettes de l’État ont augmenté plus rapidement que ses dépenses et la dette a diminué, a-t-il noté.

Un projet inutile

Par ailleurs, mentionner, comme le fait le gouvernement, que la réforme permettra de se rapprocher de la moyenne , est « politiquement pathétique », a relevé le syndicaliste. « Il faut faire comme les autres » et ne pas se démarquer par une approche « progressiste ». Ce projet de loi est inutile et injuste, a conclu Mme Preti.

Pour les nouveaux salariés de l’Etat ou des transports publics, la clé de répartition des cotisations souhaitée par le gouvernement aura un impact sur le salaire net. La baisse attendue se situe entre 1,7% et 3%. Une telle réduction annulerait d’autres mesures accordées comme l’indexation des salaires.

Les syndicats de la fonction publique craignent également que les attaques contre les conditions régissant la caisse de prévoyance de la fonction publique (CPEG) ne se poursuivent. Un projet visant à passer de la primauté des bénéfices à la primauté des cotisations serait une « gesticulation » à droite de l’échiquier politique.

Les syndicats appelleront à la mobilisation de leurs troupes contre ce projet. Ils envisagent déjà de lancer un référendum si la modification de la répartition des cotisations est acceptée par le Grand Conseil. “Nous espérons cependant qu’on n’en arrivera pas là”, a souligné Mme Preti.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

 
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