Dimanche 21 avril, le musée de la vie rurale du Pays Landes a tenu son assemblée générale, sous la présidence d’Éric Pech, et en présence du maire Christophe Martinez. « Tout va bien au musée », a déclaré le président…
Dimanche 21 avril, le musée de la vie rurale du Pays Landes a tenu son assemblée générale, sous la présidence d’Éric Pech, et en présence du maire Christophe Martinez. “Tout va bien au musée”, a déclaré le président, avec 285 visites d’adultes et 90 enfants venus en plus grand nombre depuis l’ouverture du musée les mercredis et samedis de 14h à 18h.
Les visites guidées sont toujours appréciées, mais les audiophones en plusieurs langues permettent aux touristes étrangers une meilleure visite. Le musée a également participé à deux vide-greniers où des objets déclassifiés ont été vendus, souvent en grand nombre. Le musée s’expose également ailleurs comme à la Fête de l’Asperge ou à la Fête des Landes à Dax.
Budget de 3 027 euros
Les finances sont bonnes, d’anciens outils ayant été vendus à des collectionneurs ainsi que trois mannequins vendus à des associations historiques. Des ventes qui permettent de compenser les fortes hausses de coûts et de générer un bénéfice de 893 euros pour un budget de 3 027 euros.
Pour 2024, le musée souhaite multiplier les visites en groupe ou en individuel. C’est pourquoi le partenariat avec l’Office de Tourisme du Pays Tarusate est important, comme en témoigne la présence du co-président David Cian.
En 2024, le musée s’exportera encore en participant à la grande exposition de Saugnac-et-Cambran, qui présentera du 25 mai au 2 juin la petite école-musée au cœur des « Reflets du passé ».
Un nouveau bureau a été élu composé de 10 membres et un grand merci a été adressé à Charles, âme et mémoire de ce musée au cœur des Landes.
Le maire a rebondi sur l’exposition de la petite école pour annoncer un projet en cours consistant à déplacer l’école de Laluque sur un grand terrain derrière le musée ce qui permettrait de soustraire l’école aux indispensables travaux de restauration et de sauvegarde, augmenter sa superficie et supprimer les risques encourus par les enfants lorsqu’ils traversent la route départementale.
Et chacun, de se réjouir que l’école d’aujourd’hui, bien vivante, se rapproche ainsi de l’école d’hier qui fait la gloire du musée.
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