Comment les partis francophones veulent contrer la N-VA à Bruxelles

Comment les partis francophones veulent contrer la N-VA à Bruxelles
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Plusieurs partis francophones, Défi et PS en tête, réfléchissent à des scénarios en cas de victoire significative de la N-VA aux élections régionales bruxelloises de juin.


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Par Alexandre Noppe

Publié le 25/04/2024 à 18h27
Temps de lecture : 2 minutes

LLa N-VA pourrait-elle être indispensable au gouvernement bruxellois après les élections ? Si l’on se pose cette question, c’est parce qu’elle agite de plus en plus les partis francophones à l’approche des élections régionales. Avec la fragmentation des listes du côté néerlandophone, à laquelle pourraient s’ajouter une forme pauvre du Vooruit bruxelles et de l’Open VLD, une N-VA réussie pourrait être en position de force pour « grimper » au gouvernement. Avec seulement 17 sièges néerlandophones, la majorité est de 9 sièges. Ce qui rend presque inévitable tout parti qui obtient environ 4 sièges, surtout si l’une ou l’autre petite liste venait à siéger. “Devoir envisager une coalition avec la N-VA est actuellement la principale crainte de plusieurs responsables politiques bruxellois francophones”, confirme Elke Van den Brandt, leader de Groen à Bruxelles. « Nous sommes nombreux à nous en inquiéter », confirme un dirigeant bruxellois francophone.



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