Macron annule officiellement sa visite en Bretagne vendredi en raison de « contraintes météorologiques »

Macron annule officiellement sa visite en Bretagne vendredi en raison de « contraintes météorologiques »
Macron annule officiellement sa visite en Bretagne vendredi en raison de « contraintes météorologiques »

L’annonce de l’annulation de la visite dans le Trégor (Côtes-d’Armor) du président de la République se répand depuis la mi-journée : ce jeudi 19 septembre 2024, à la veille de l’arrivée annoncée d’Emmanuel Macron, l’annulation ne fait plus aucun doute. Elle est même confirmée par les services de l’Élysée.

La SNSM avait été réquisitionnée

Peu après midi, le président de la SNSM de Trébeurden a indiqué qu’il avait également « J’ai reçu un appel téléphonique de l’Élysée »annonçant cette annulation « pour des raisons météorologiques »précise Rudy Coulon, le président de la station de la Société nationale de sauvetage en mer. Laquelle avait été réquisitionnée pour faire partie du dispositif de protection lors de cette visite, qui devait conduire le président de la République à l’île aux Moines, mais aussi à la réserve naturelle des Sept-Îles, à Perros-Guirec.

Les deux vedettes de la Gendarmerie nationale, amarrées à Trébeurden, devaient faire partie du dispositif de protection de la visite du Président. | OUEST-FRANCE
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Les deux vedettes de la Gendarmerie nationale, amarrées à Trébeurden, devaient faire partie du dispositif de protection de la visite du Président. | OUEST-FRANCE

Pas de troisième visite dans le Trégor

Ce vendredi 20 septembre 2024, Emmanuel Macron devait venir pour la troisième fois dans le Trégor, dans les Côtes-d’Armor. Venu en 2015 comme ministre de l’Economie pour rencontrer les salariés d’Alcatel-Lucent, il y est revenu en tant que président de la République en 2017 : tout juste élu, il a assisté aux obsèques de la députée trégorroise Corinne Erhel, une partisane de la première heure foudroyée par une crise cardiaque deux jours avant de remporter l’élection présidentielle.

Cette fois, il devait mettre le cap sur le patrimoine bâti de l’île aux Moines, mais aussi le patrimoine vivant de la réserve naturelle de Sept-Îles.

 
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