Belfort. Les ouvriers du bâtiment s’attaquent au nettoyage des 5.000 m2 de toiture de l’Atria

Belfort. Les ouvriers du bâtiment s’attaquent au nettoyage des 5.000 m2 de toiture de l’Atria
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La différence est significative, avant et après nettoyage des 5 000 m2 toit de l’Atria. Depuis le 11 mars, six grimpeurs urbains de l’entreprise Espace Vertical d’Offemont travaillent dans des conditions difficiles. Equipés de harnais, de harnais et de casques, ils parcourent verticalement et horizontalement le toit pour pulvériser un produit organique à base de plantes et frotter les plaques d’aluminium avec l’équivalent d’un balai-brosse. Leur mission est de redonner, d’ici le 22 mars, sa couleur grise uniforme à la toiture du palais des congrès et d’effacer les traces de coulures, dépôts grisâtres, verdâtres ou noirâtres. Résidus finaux de pollution, végétation voisine et intempéries.

“C’est physique mais excitant”

« Ce travail est difficile », explique l’un des cordistes. « Nous travaillons en cordée ensemble. C’est physique mais excitant. » Ce n’est pas la première fois que la Ville de Belfort lance une telle dépollution à Atria. Tous les trois ans environ, l’Atria bénéficie d’un grand ménage approuvé par un grand nombre de locataires du palais des congrès.

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Intervention spectaculaire

« On nous traite parfois d’« grimpeurs urbains », voire d’« acrobates du bâtiment » », explique l’un des funambules. « Ce métier a encore du mal à être reconnu comme un métier à part entière. Bien sûr, nous maîtrisons les techniques de l’alpinisme mais en réalité nous nous appuyons autant, sinon plus, sur celles de la spéléologie. Et malgré le côté spectaculaire de l’intervention, nous sommes avant tout tenus de respecter les règles relatives à la sécurité. » Ce métier était initialement lié au secteur des travaux publics, comme par exemple dégager une paroi rocheuse, supprimant un risque de glissement de terrain. Elle s’est progressivement étendue aux secteurs du bâtiment, de l’industrie, des monuments historiques, du nettoyage et de l’élagage. Aujourd’hui, des professionnels le pratiquent, après avoir reçu une formation spécifique.

 
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