Tatoueuse à Bordeaux, Rachel M. Köng sera présente à la fin du mois au Printemps des Zen’ergies à Tarbes. Elle parle de son travail et de sa pratique du tatouage vibratoire.
Semaine des Pyrénées : Comment avez-vous découvert le tatouage vibratoire ?
Rachel M. Kong : Je suis tatoueur depuis 2013, mais j’ai évolué à partir de 2017, où j’ai entamé un éveil spirituel. Il m’a fait vivre des expériences ésotériques liées au tatouage. J’ai acquis une certaine compréhension plus large des ponts qui peuvent exister entre l’ésotérisme et le tatouage. Les tatouages, pour moi, ont une magie très puissante, très ancienne. Nous pouvons relier cela à la magie du sang entre guillemets, qui est la magie la plus puissante de toutes les magies.
Le tatouage vibratoire est une technique que j’ai développée, même si elle existe depuis longtemps, plus de 4 000 ans. La véritable vibration du tatouage peut être très utile aux gens et j’en ai fait un outil de développement personnel.
Quelle est l’énergie vibratoire d’un tatouage ?
Avoir quelque chose tatoué sur votre corps crée une vibration. Cela peut être positif ou négatif. Je développe une technique, mais mon objectif, en donnant des conférences par exemple, est d’expliquer aux gens que ce n’est pas une pratique anodine.
Le tatouage est un outil qui, s’il est mal utilisé, peut causer de très graves problèmes : s’il est fait par la mauvaise personne par exemple, s’il est fait avec des intentions « neutres », cela peut avoir des répercussions très graves. lourd sur les gens comme la dépression, les problèmes avec les entités qui se collent à eux… Mon ambition est que les personnes avec ces tatouages vibratoires soient réellement protégées, se sentent bien dans leur vie et se reconnectent à elles-mêmes. J’utilise des soins énergétiques combinés au tatouage.
Que se passe-t-il pendant une séance ?
Les personnes que je reçois pour un tatouage énergétique ont déjà une conscience élargie sur le plan spirituel, elles viennent avec une intention particulière. Ils veulent plus de stabilité dans leur vie, plus de force pour avancer, mieux entendre et voir, être plus alignés et plus ancrés. Il existe également des thèmes à personnaliser comme la guérison, la force, la protection ou la connexion au divin.
J’utilise mes dons de guérison pour essayer de capter leur énergie, leurs émotions, pour voir ce qui les bloque. Je joins mes mains, j’utilise le magnétisme pour obtenir de l’énergie propre, effectuant une sorte de réalignement ; s’il y a une énergie qui le bloque, nous la supprimerons pour que le tatouage puisse être plus actif.
Image d’un tatouage vibratoire au dos créé par Rachel M.Köng, ici travaillé pour une reconnexion avec le divin.
En tant que tatoueur, quel est votre univers visuel ?
En tant que tatoueur « classique », parce que c’est encore aujourd’hui la majorité de mon activité, je travaille également le dessin géométrique, les points et les dessins néo-tribales. Pour le tatouage vibratoire, je vois une personne par semaine, pas plus car cela demande beaucoup d’énergie.
Au départ, pour le tatouage vibratoire, j’avais accepté de créer ce que les gens apportaient, des dessins ou des symboles qui existaient déjà, mais il faut savoir qu’il y a des énergies, parfois anciennes, attachées à des formes passées, parfois très lourdes. Aujourd’hui, j’essaie progressivement de les amener vers d’autres formes.
Rachel M. Köng au Printemps des Zen’ergies (23 et 24 mars)
Conférence : le tatouage vibrant (Dimanche 24 mars à 14h, Salle 3 – Néouvielle)
- Rachel nous présentera sa vision et son expérience liée au tatouage, le parcours de femme tatouée à femme tatoueuse, mettant en avant les aspects ésotériques de cet art. Préparez-vous à une exploration captivante qui élargira votre vision du tatouage et vous emmènera au-delà des limites du visible.
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