Histoire autobiographique. La collection s’appelle « Return Home ». L’écrivain Mazarine Pingeot, fille de François Mitterrand longtemps cachée, a accepté de revenir au « 11, quai Branly » (éd. Flammarion, 224 p., 19,50 €), où elle vivait avec sa mère Anne, entre les âges 9 et 16 ans. Adolescence recluse au cœur de Paris. Une manière de se réapproprier un lieu et une histoire racontée par d’autres. En savoir plus.
Roman étranger. Sally Rooney, la jeune auteure irlandaise de « Normal People », adapté en série à succès, publie « Intermezzo » (éd. Gallimard, 464 p., 22 €). L’histoire de deux frères très différents qui vivent à la fois la perte de leur père et des amours périlleuses. En savoir plus.
Roman étranger. Prix Pulitzer pour « The Hours » en 1999, Michael Cunningham revient à la littérature après presque dix ans de silence avec « Un jour d’avril » (éd. Seuil, 320 p., 22,50 €). L’histoire, à New York, d’un couple en crise et d’une famille qui vacille, sur les mêmes trois jours, séparés d’un an. Avec le confinement en attendant. Un roman délicat. En savoir plus.
Romain. Gérard de Cortanze consacre un troisième ouvrage à Ernest Hemingway. « Il ne rêvait que de paysages et de lions au bord de la mer » (éd. Albin Michel, 320 p., 22,90 €) retrace la dernière année de la vie de l’écrivain américain avant son suicide à 61 ans. Un très beau roman. En savoir plus.
Polaire. « L’Agent » (éd. Liana Levi, 208 p., 18 €) est un roman plein d’humour de Pascale Dietrich sur un personnage d’agent tueur à gages qui, à cause de la concurrence, se retrouve avec un contrat sur la tête et se cache dans Vierzon. En savoir plus.
Essais. Pour mieux comprendre l’élection présidentielle américaine et ses enjeux, les fractures de ce pays ou encore les présidents qui se sont succédé à sa tête, nous vous proposons une sélection d’ouvrages. Autant de perspectives différentes sur les États désunis. En savoir plus.