Spécialiste de la chirurgie plastique et du traitement des brûlures graves, Ahmed Moghrabi est arrivé en Belgique il y a quelques jours au terme d’un voyage tortueux et chaotique dans une bande de Gaza dévastée par les bombardements israéliens après les événements du 7 octobre. Il dénonce un « génocide » ». Nous l’avons rencontré.
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Journaliste à la division Internationale
Par Baudouin LoosPublié le 18/10/2024 à 20h44
Temps de lecture : 5 minutes
UNHmed Moghrabi affiche un sourire timide. Ce médecin gazaoui se tient devant nous, au domicile bruxellois de la réalisatrice Delphine Noels qui l’héberge, et c’est presque un miracle. Car les difficultés rencontrées ont été légion avant d’arriver en Belgique. Mais pas question de se reposer, tant de choses restent à faire. Ce chirurgien témoigne inlassablement des horreurs infligées par la guerre.
Netanyahou, raciste et agressif, pas un Yitzhak Rabin, voulait la paix, mais il a été assassiné.
Vous avez alors décidé de partir…
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