Manque de liquidités, chaleur étouffante… la situation humanitaire et sanitaire ne s’améliore pas à Gaza après plus de 200 jours de conflit. La perspective d’une invasion de Rafah fait craindre le pire aux organisations humanitaires.
Article réservé aux abonnés
Publié le 28/04/2024 à 15h49
Temps de lecture : 2 minutes
SSacs à dos et poêles à frire sont suspendus de chaque côté d’une petite table où sont entassés plusieurs ustensiles de cuisine et bidons d’eau. Les tentes d’Abu Hajar sont toujours soigneusement rangées et organisées pour que le coin cuisine n’empiète pas sur l’espace couchage des six enfants. Depuis le 10 mars, la famille, originaire de Khan Yunis, vit sur la plage d’Al Qarara, après avoir fui une école de l’Unrwa à Rafah. Grand rectangle de bâche blanche, leur tente s’est transformée ces derniers jours en serre, alors qu’une canicule inhabituelle frappe la bande de Gaza, le mercure atteignant 40°C les 25 et 26 avril. tentes. Heureusement, la mer n’est pas loin, c’est le seul endroit où nous pouvons aller », écrit Amal Abu Hajar, 41 ans et mère de famille.
Cet article est réservé aux abonnés
Accédez aux informations nationales et internationales vérifiées et décryptées
1€/semaine pendant 4 semaines (sans engagement)
Avec cette offre, profitez de :
- Accès illimité à tous les articles éditoriaux, fichiers et rapports
- Le journal en version numérique (PDF)
- Confort de lecture avec publicité limitée