Le secrétaire général de l’Alliance atlantique a prononcé un dernier discours jeudi à Bruxelles avant de passer la parole à l’ancien Premier ministre néerlandais Rutte le 1er octobre. A bas les droits de douane entre alliés ! A bas les tentations isolationnistes ! Les projets attribués au candidat républicain à l’élection américaine du 5 novembre étaient clairement dans le viseur du « SecGen » sortant…
Article réservé aux abonnés
Journaliste à la division internationale
By Philippe RegnierPublié le 19/09/2024 à 20h29
Temps de lecture : 1 min
jeIl n’était pas besoin d’être un génie pour deviner de qui il parlait, entre les lignes, sans mentionner son patronyme. Jens Stoltenberg avait peut-être d’autres noms en tête (parions sur Viktor Orban…) mais, visiblement, le suspect numéro un dans le collimateur du secrétaire général de l’Alliance atlantique était le candidat républicain à l’élection présidentielle américaine du 5 novembre : Donald Trump.
Cet article est réservé aux abonnés
Accédez à des informations nationales et internationales vérifiées et décryptées
1€/semaine pendant 4 semaines (sans engagement)
Avec cette offre, profitez de :
- Accès illimité à tous les articles, dossiers et rapports de l’équipe éditoriale
- Le journal en version numérique (PDF)
- Confort de lecture avec publicité limitée
){kind=link}