L’hélicoptère de l’ancien président s’est écrasé à cause des conditions météorologiques, selon une enquête

L’hélicoptère de l’ancien président s’est écrasé à cause des conditions météorologiques, selon une enquête
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Selon le rapport final de l’enquête publié ce dimanche 1er septembre, l’accident d’hélicoptère dans lequel l’ancien président iranien Ebrahim Raisi est décédé en mai dernier a été provoqué par « l’apparition soudaine d’une épaisse masse de brouillard dense ».

L’accident d’hélicoptère qui a tué en mai l’ancien président iranien Ebrahim Raïssi et des membres de son entourage a été provoqué par de mauvaises conditions météorologiques, selon le rapport final de l’enquête publié dimanche 1er septembre par la télévision d’Etat.

La commission d’enquête spéciale, formée par l’état-major général des forces armées, a conclu que « la cause principale de l’accident était les conditions climatiques et atmosphériques complexes de la région au printemps », selon le rapport.

Le président, décédé à l’âge de 63 ans, revenait de l’inauguration d’un poste de contrôle à la frontière avec l’Azerbaïdjan lorsque l’hélicoptère s’est écrasé le 19 mai dans le nord-ouest montagneux du pays.

« Apparition soudaine d’une masse épaisse de brouillard dense »

Le rapport précise que l’accident a été provoqué par « l’apparition soudaine d’une épaisse masse de brouillard dense », qui a conduit à la « collision de l’hélicoptère avec la montagne ».

L’enquête exclut « toute possibilité que l’hélicoptère ait été la cible de systèmes offensifs et défensifs ou de guerre électronique ».

En août, l’état-major des forces armées a «fermement démenti» les allégations de l’agence de presse locale Fars, qui avait suggéré que le crash pourrait être en partie dû à une surcharge de l’avion.

L’armée iranienne avait déjà déclaré en mai qu’elle n’avait trouvé aucune preuve d’activité criminelle qui aurait pu provoquer le crash de l’avion, qui transportait huit personnes, toutes décédées, dont le ministre des Affaires étrangères Hossein Amir-Abdollahian.

 
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