Une caractéristique physique permettrait de reconnaître un psychopathe en un clin d’œil, selon cette étude

Si les psychopathes sont diagnostiqués à l’aide de caractéristiques clairement définies par la psychiatrie, ils pourraient également être reconnus à l’aide d’un simple détail physique, selon une étude canadienne.

Le site l’Internaute définit un psychopathe comme « une personne souffrant d’un trouble de la personnalité ».

Ce type d’individu se caractérise par des traits de personnalité distinctifs : manque d’empathie et de sensibilité, comportement antisocial, égoïsme, agressivité, etc.

Aussi surprenant que cela puisse paraître, les psychopathes pourraient aussi être reconnus par un détail physique. C’est du moins ce que nous dit une récente étude canadienne.

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Une particularité au niveau de la main

Selon les chercheurs, les personnes qui ont un index plus court que l’annulaire peuvent présenter des traits psychopathiques. Oui, vous avez bien lu.

Pour mener leurs recherches, les scientifiques ont analysé 88 volontaires : 44 d’entre eux souffraient de troubles psychiatriques et 36 étaient en « bonne santé psychologique », détaille le site. Doctissimo.

En exploitant les données récoltées, les auteurs de l’étude, dont le Dr Serge Brand, expert en psychologie, ont fait une découverte pour le moins étonnante.

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«L’analyse des mains des volontaires confirme que par rapport aux témoins sains, les personnes ayant un problème psychiatrique cliniquement diagnostiqué étaient plus susceptibles d’avoir un index plus court et un annulaire plus long.».

Vous ne le savez peut-être pas, mais ce rapport de doigts est appelé « 2D:4D ». Elle est liée à la triade noire, une «concept de psychologie qui rassemble trois traits de personnalité interconnectés : le narcissisme, le machiavélisme et la psychopathie« . Bien évidemment, les résultats de cette étude sont à prendre avec de (très grosses) pincettes.

“Il est crucial de comprendre que le nombre de doigts ne détermine pas à lui seul la personnalité future d’un individu”, souligne l’étude.

Celui-ci sera publié en février prochain dans le Journal de recherche psychiatrique.