le ministre de la Santé, Yannick Neuder, rattrapé de peu par la patrouille médicale – Libération

le ministre de la Santé, Yannick Neuder, rattrapé de peu par la patrouille médicale – Libération
le ministre de la Santé, Yannick Neuder, rattrapé de peu par la patrouille médicale – Libération

Pour un ministre, chaque déplacement est l’occasion de scander un message, et une seule pour être audible. Prenant cette règle de communication un peu trop au pied de la lettre, le ministre de la Santé, Yannick Neuder, n’a pas échappé à la grosse bourde ce vendredi. Sa visite aux urgences de l’hôpital Cochin ce matin ne doit rien au hasard : un peu partout en , l’épidémie de grippe met le personnel hospitalier sous forte pression, au point d’avoir déjà contraint 87 établissements de santé à activer leur plan blanc, selon les derniers chiffres du ministère.

« Pas trop tard pour le vaccin »

Dans ce contexte difficile, le nouveau locataire de la rue de Ségur se doit d’être proactif. En franchissant les portes de l’hôpital parisien, Neuder a son texte bien en tête. Le matin même, il s’est entretenu avec le virologue membre du Covars, Bruno Lina. Pour soulager l’hôpital public à ce stade de l’épidémie, le seul moyen est de “rappelez-vous l’importance des gestes barrières”, lui glissa ce dernier. Yannick Neuder entend bien marteler ce message. Dès son arrivée, il recommande à chacun de “saluez-vous à distance, évitez de vous embrasser, d’éternuer dans votre coude et de porter un masque dans les lieux confinés et dans les transports en commun”. À plusieurs reprises dans la salle de contrôle des urgences. « Mais la prévention, c’est aussi aller

 
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