Il est temps d’essayer d’arrêter de fumer avec le Mois sans tabac tout au long du mois de novembre. UN neuvième édition lancée par initiée par le Ministère de la Santé et Santé Publique France. La consommation de tabac est en baisse dans les Hauts de France. On est passé de 30% de fumeurs quotidiens chez les 18-75 ans à environ 26 % en sept ansune réduction plus importante par rapport à la moyenne française. “Les prix des cigarettes ont augmenté et les consultations et patchs ont été couverts. Donc, en ce qui concerne le budget, je crois que beaucoup de gens dans nos régions ont vu l’opportunité d’économiser de l’argent.», analyse Maryse Thelliez, infirmière tabac et formatrice au sein de l’association Addictions des Hauts-de-France.
« Tout le monde peut être soutenu »
“Beaucoup de gens m’ont dit que déménager en Belgique coûtait beaucoup moins cher que d’arrêter de fumer. Pendant que c’est fini, comment tout peut être pris en charge», ajoute-t-elle. “Je pense que c’est ce qui a eu un grand impact dans notre région.« Pour économiser de l’argent sur votre portefeuille, vous devez d’abord arrêter de fumer. C’est tout l’intérêt du mois sans tabac», décrit Maryse Thelliez.Arrêter pendant 30 jours, même si vous recommencez, augmente de cinq fois les chances d’arrêter définitivement de fumer. C’est donc très très important car nous avons le temps de prendre conscience des impacts positifs de la fermeture..»
Maryse Thelliez mentionne également l’impact bénéfique de la cigarette électronique. “Comme on est accro à une dose de nicotine en vapotant, le fumeur prend la dose dont il a besoin, et il n’en prendra pas plus. S’il en prend plus, des nausées s’installent. C’est une cigarette de trop, c’est une vape de trop, et le fumeur arrête. Il n’y a donc aucun danger de ce côté-là.« Contrairement à la cigarette électronique, le tabac tue »75 millions de personnes» chaque année.