La téléconsultation s’implante dans les Deux-Sèvres, y compris dans les mairies

La téléconsultation s’implante dans les Deux-Sèvres, y compris dans les mairies
La téléconsultation s’implante dans les Deux-Sèvres, y compris dans les mairies

La récente faillite de la start-up H4D, pionnière de la téléconsultation en , a mis en lumière ce système qui tend à se développer dans les zones où les soins font défaut. C’est bien sûr le cas dans les Deux-Sèvres, département dans lequel une trentaine de pharmacies proposent désormais ce service, également implantées dans l’espace public (lire par ailleurs).

La liquidation d’H4D apparaît avant tout liée à son modèle économique, basé sur la vente d’appareils avancés. Plus ils faisaient de téléconsultations, plus ils augmentaient leurs pertes puisqu’ils devaient payer les médecins indiquait récemment Nathaniel Bern, co-fondateur de son concurrent Medadom, à L’Usine Digitale.

« 6 000 téléconsultations ont été réalisées en 2024 dans les Deux-Sèvres »

Medadom est en effet le prestataire le plus souvent choisi dans le département. L’entreprise se concentre sur la location et répertorie 37 appareils (terminaux, cabines, consoles) dans les Deux-Sèvres, principalement en pharmacie mais pas exclusivement (lire par ailleurs). 6 000 téléconsultations ont été réalisées en 2024 dans les Deux-Sèvres indicates Noémie Maman, responsible…

France

 
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