des résultats très encourageants et la poursuite de la campagne avec la 2ème dose (Communiqué)

des résultats très encourageants et la poursuite de la campagne avec la 2ème dose (Communiqué)
des résultats très encourageants et la poursuite de la campagne avec la 2ème dose (Communiqué)

Grâce à la mobilisation collective, la première campagne a été un succès puisqu’un élève sur cinq en Nouvelle-Aquitaine a été vacciné à l’école. Aujourd’hui, près d’un étudiant de 12 ans sur deux a reçu une dose de vaccin contre le VPH.

Depuis début avril, l’ARS Nouvelle-Aquitaine, en étroite collaboration avec la région académique, l’Assurance maladie et les centres de vaccination, organise la deuxième séance de vaccination des élèves de 5 ans.ème6 mois après l’administration de la première dose.

Des premiers résultats très satisfaisants pour la région Nouvelle-Aquitaine

Le succès de cette première campagne est fruit de la mobilisation de plusieurs acteurs de l’Éducation Nationale comme les chefs d’établissement, les professionnels de santé du rectorat, les centres de vaccination mais aussi tous les professionnels de santé et les collectivités locales.

Grâce à cet engagement collectif, cette initiative innovante, porteuse de bénéfices tant individuels que collectifs en termes de santé publique, permettra de réduire les contaminations, les infections et les lésions précancéreuses liées aux papillomavirus.

Septembre dernier, 38,8% des demandes d’autorisation ont été collectées, dont plus de 79,3% sous forme électronique et 20,7% sous format papier. Au total, 23,4% des parents d’élèves sur 5ème ont donné leur accord de faire vacciner leurs enfants à partir d’octobre 2023 (14,8% de refus).

Donc, 547 établissements publics et privés de la région sur un total de 643 ont organisé une séance de vaccination au sein de leurs locaux, grâce au soutien de 22 centres de vaccination et de leurs antennes.

Fin 2023, 18% de tous les élèves de la classe 5ème avoir été vacciné au sein de leur collège et 20 % des étudiants exposés (c’est-à-dire les étudiants à qui une séance de vaccination a été proposée). Parmi eux, 21 % étaient des filles et 22 % des garçons. Comme indiqué Olivier Jourdain, Chirurgien gynécologue et président de la Commission des Offres de Soins du CRSA NA, lors de la journée de retour d’expérience organisée en mars : ” ces chiffres sont très satisfaisants pour une première année de déploiement. Ils sont comparables aux résultats obtenus par les pays qui disposent désormais d’excellents taux de couverture. »

Lire la suite du communiqué

 
For Latest Updates Follow us on Google News
 

PREV Des virus pour lutter contre le cancer et les maladies infectieuses
NEXT Mario Pelchat prépare sa réponse