Il vaut mieux attendre la fin de la journée, une fois que le vent a dispersé les particules, ou bien confier la tâche à quelqu’un d’autre.
DE JUILLET À OCTOBRE
On termine la saison en beauté avec l’ambroisie. Sachez que c’est l’un des allergènes les plus intenses.
À votre insu, vous pourriez en avoir sur votre propriété. Pour savoir comment l’identifier et surtout comment l’éliminer, cliquez ici.
Selon le gouvernement du Québec, 1 personne sur 5 souffre de rhinite saisonnière, soit 20 % de la population.
Des études récentes suggèrent qu’il existe un lien entre le changement climatique et la saison des allergies. La hausse des températures et l’augmentation des gaz à effet de serre pourraient prolonger les symptômes et accroître leur intensité. Notamment, l’augmentation du dioxyde de carbone (CO2) dans l’atmosphère facilite la croissance et la germination de l’ambroisie.
« Il semble que la pollution joue un rôle dans nos symptômes, car certains polluants peuvent interagir avec les grains de pollen et augmenter le risque d’allergies. Pour nous aider au quotidien, nous pouvons nous référer aux prévisions d’allergies de MétéoMédia et également jeter un œil à la qualité de l’air.
De plus, avec le changement climatique on remarque qu’avec la hausse des températures certaines plantes allergisantes migrent vers le nord, comme l’ambroisie par exemple. C’est une mauvaise herbe qui prolifère facilement sous l’influence de la chaleur et du soleil. La prolifération de ces plantes dans les milieux nordiques pourrait, à long terme, affecter les populations. » – Cassandra Lévesque-Vézina
Pour suivre quotidiennement les prévisions d’allergies et les indices de qualité de l’air, rendez-vous sur la page MétéoMédia et bonne saison !