Candy Darling, la « reconquête de gloire » d’une icône trans

Candy Darling, la « reconquête de gloire » d’une icône trans
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Le souvenir de Candy Darling (1944-1974) apparaît ici et là dans les œuvres pop underground des années 1960. Dans deux chansons de Lou Reed : Candy dit Et Marchez du côté sauvage (“Candy venait de l’île / Dans l’arrière-salle, elle était la chérie de tout le monde”). Dans plusieurs films d’Andy Warhol, dont Chair Et Les femmes en révolte. Dans Citadelle, une chanson des Rolling Stones. Elle joue le rôle d’égérie jusque sur son lit d’hôpital, immortalisée en 1974 par le photographe Peter Hujar avant de mourir d’un cancer la même année.

Disparue à 29 ans, l’actrice et icône transgenre de l’underground new-yorkais est désormais l’héroïne d’une biographie, publiée aux Etats-Unis sous le titre Candy Darling : Rêveuse, Icône, Superstar (« Candy Darling, rêveuse, icône superstar », non traduit en français).

L’auteur de cette biographie, Cynthia Carr, « a dû reconstituer le portrait de la jeune Candy à partir de fragments, de souvenirs à moitié effacés et du sentiment de honte qu’elle provoquait dans sa famille », de sa naissance de petit garçon à sa vie de starlette branchée, écrit Thé New yorkais. Le résultat, salué par plusieurs titres de presse américaine, est un ouvrage “un millier de collèges

 
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