Adriana Karembeu n’est plus un coeur à prendre et l’a révélé avec style. Séparée de son mari Aram-André Ohanian, père de sa fille Nina, le mannequin originaire de Slovaquie a retrouvé le sourire dans les bras d’un homme qui manie les mots d’amour avec dextérité : Marc Lavoine. Une idylle qu’ils ont décidé d’officialiser mercredi 18 septembre, en s’affichant très proches au pied du Théâtre des Champs-Élysées, à Paris, à l’occasion du Concerto pour la paix organisé par le pianiste franco-libanais Omar Harfouch.
Sur le tapis rouge et devant une foule de photographes et de journalistes, Marc Lavoine et Adriana Karembeu ont multiplié les gestes tendres et n’ont pas manqué d’éblouir la foule avec leurs looks. Pour crier haut et fort son amour, monsieur a opté pour une tenue décontractée avec un pantalon ample porté avec un t-shirt noir et une veste de costume ample. De son côté, l’ancienne star des podiums a assorti sa chérie en choisissant un look masculin-féminin basé autour d’un costume trois pièces gris oversize à rayures blanches. Une pièce intemporelle imaginée par The Frankie Shop, label créé par Gaëlle Drevet, une Parisienne exilée à New York adepte de looks minimalistes et chics. Cet ensemble d’exception porté par la sublime Adriana Karembeu est toujours disponible sur le site officiel de la griffe : ici.
>> PHOTOS – Adriana Karembeu : son évolution physique
Adriana Karembeu : la mode, son terrain de jeu
Aussi à l’aise perchée sur une paire de talons aiguilles qu’en baskets, Adriana Karembeu est un véritable caméléon du style et n’hésite pas à jouer avec les matières, les couleurs, les coupes et les genres.Dans la soirée, J’aime être une femme fatale. Être chic, glamour et tellement élégant que tout le monde est essoufflé quand je suis dans la pièce. Au contraire, dans la vie de tous les jours, je n’ai qu’une envie : être invisible, passer inaperçue avec ma casquette vissée sur la tête“, confiait-elle à Gala.fr il y a quelques années. Et d’ajouter : “Je ne suis jamais blasée par la mode. J’adore aller à Cannes, porter de belles robes et jouer les princesses. C’est grâce à mon métier que j’ai ce genre de privilèges… Mais je ne suis pas obsédée par les choses, je ne suis pas les tendances, je ne suis pas une fashion victim.“
Crédits photo : Perusseau-Tribeca / Bestimage
