« Avec Rosalie, j’ai eu envie de retrouver un nouvel érotisme »

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Publié le 9 avril 2024 à 19h27 / Modifié le 10 avril 2024 à 06h37.

On les appelle communément femmes barbus, mais le terme correct est hirsutisme. Selon Revue médicale suisseil s’agit d’une « présence de poils terminaux de répartition masculine chez la femme […], due soit à une augmentation de la production d’androgènes, soit à une augmentation de la sensibilité du follicule pileux aux androgènes. Pour Stéphanie Di Giusto, l’hirsutisme est l’élément perturbateur d’une romance atypique, qu’elle situe en Bretagne à la fin du XIXe siècle. Voici Rosalie, l’héroïne qui donne son titre à son deuxième long métrage, que l’on découvre lorsque son père la donne en mariage à Abel, propriétaire de café endetté qui s’intéresse avant tout à sa dot. Et qui ne connaît pas son secret.

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